Le Banquet. Not a musical, not at all
Comédie musicale presque philosophique. Ou l’inverse.
de Matthieu Pastore, d’après Le Banquet de Platon
Durée 1h20.
Texte et mise en scène Matthieu Pastore
Assistante à la mise en scène Camille Soulerin
Avec Victor Assié, Barbara Atlan, Laurie Barthélémy, Nathalie Bourg, Pierre Cohen, Benjamin Dussud, Margot Mayette, Valentin Rolland & Camille Soulerin
Chorégraphies Laura Maria Desideri
Costumes Amélie Vavernac & Leslie Granger
Création Lumières Théo Tisseuil
Ingénieur Son Clément Hubert
Régie Son Claire Mahieux
Photos Olivier Montay
Spectacle lauréat du Prix Théâtre 13 / Jeunes metteurs en scène 2020
Produit par la Compagnie Internationale.
Co-produit par Le Théâtre 13 / Paris avec le soutien de la Maison du Théâtre et de la Danse d’Epinay sur Seine et du Théâtre Victor Hugo de Bagneux, de la SACD et de la SPEDIDAM.
Nos remerciements vont au JTN, Collectif Masque, CRTH.
Matthieu Pastore a gagné en 2020 le Prix Jeunes Metteurs en scène du Théâtre 13 et le prix Nouveau Talent Théâtre SACD
CALENDRIER 2021/2022
- 17-25 Septembre 2021 au Théâtre 13 Jardin
- 29 Janvier 2022 à La Maison du Théâtre et de la Danse d’Epinay-sur-Seine
- 1 Février 2022 au CRESCO de Saint-Mandé
- Exploitation 2022/2023 et 2023/2024
SYNOSPSIS
Et si on faisait un banquet ? Une fête ?
Si on réunissait sur quelques canapés, un soir où il fait soif, où l’on est joyeux, des amis que l’on estime ? Des gens qui savent boire, s’amuser et parler.
Et si, ce soir-là, on ne savait plus quoi dire ? Si les verres et les bouteilles vidés, la playlist Spotify continuait à jouer ses morceaux agréables, un peu rétro, un peu kitsch, les morceaux que l’on écoute en voiture ou en faisant le ménage et qui, par le flow/flot des algorithmes finissent par s’écouler entre les interstices de nos solitudes communes ?
Il est encore tôt, on a un peu bu, on est joyeux, certes, mais ces mots, ces quelques rimes idiotes, ces accords mineurs sur les cordes d’une guitare, rouvrent soudain un vide, font résonner un manque.
Et l’on se met soudain à y penser, à cette béance que l’on ne colmate jamais tout à fait et qui nous tente tous, nous tend tous à l’amour.
Et là, comme Alcybiade et Agathon, comme Socrate et Eryximaque, on se met à en parler, à l’évoquer, à le revivre, à en rire et à en pleurer. Mais de quoi parlent-ils réellement ?