Le Banquet. Not a musical, not at all
Comédie musicale presque philosophique. Ou l’inverse.
de Matthieu Pastore, d’après Le Banquet de Platon
Durée 1h20.
Texte et mise en scène Matthieu Pastore
Assistante à la mise en scène Camille Soulerin
Avec Victor Assié, Barbara Atlan, Laurie Barthélémy, Nathalie Bourg, Pierre Cohen, Benjamin Dussud, Margot Mayette, Valentin Rolland & Camille Soulerin
Chorégraphies Laura Maria Desideri
Costumes Amélie Vavernac & Leslie Granger
Création Lumières Théo Tisseuil
Ingénieur Son Clément Hubert
Régie Son Claire Mahieux
Les compositions musicales et les arrangements sont de Pierre Cohen, Clément Hubert & Margot Mayette
Spectacle lauréat du Prix Théâtre 13 / Jeunes metteurs en scène 2020
Produit par la Compagnie Internationale.
Co-produit par Le Théâtre 13 / Paris et la SACD, avec le soutien de la Maison du Théâtre et de la Danse d’Epinay sur Seine et du Théâtre Victor Hugo de Bagneux.
Nos remerciements vont au JTN, Collectif Masque, CRTH.
CALENDRIER DU PROJET
- Création 2020 Théâtre 13/Paris
- 17 Janvier 2021 à La Maison du Théâtre et de la Danse d’Epinay-sur-Seine
- 13 Janvier 2021 au Théâtre Victor Hugo de Bagneux
- Exploitation 2021/2022 et 2022/2023
SYNOSPSIS
Et si on faisait un banquet ? Une fête ?
Si on réunissait sur quelques canapés, un soir où il fait soif, où l’on est joyeux, des amis que l’on estime ? Des gens qui savent boire, s’amuser et parler.
Et si, ce soir-là, on ne savait plus quoi dire ? Si les verres et les bouteilles vidés, la playlist Spotify continuait à jouer ses morceaux agréables, un peu rétro, un peu kitsch, les morceaux que l’on écoute en voiture ou en faisant le ménage et qui, par le flow/flot des algorithmes finissent par s’écouler entre les interstices de nos solitudes communes ?
Il est encore tôt, on a un peu bu, on est joyeux, certes, mais ces mots, ces quelques rimes idiotes, ces accords mineurs sur les cordes d’une guitare, rouvrent soudain un vide, font résonner un manque.
Et l’on se met soudain à y penser, à cette béance que l’on ne colmate jamais tout à fait et qui nous tente tous, nous tend tous à l’amour.
Et là, comme Alcybiade et Agathon, comme Socrate et Eryximaque, on se met à en parler, à l’évoquer, à le revivre, à en rire et à en pleurer. Mais de quoi parlent-ils réellement ?


